Des maîtres anglo-saxons aux Imaginales !

Entre confirmations et découvertes…

La sélection anglo-saxonne des Imaginales 2013 vous fera rencontrer des auteurs appréciés de longue date en France, comme Lucius Shepard, l’un des maîtres de la SF et de la fantasy modernes, ou le britannique Alastair Reynolds, passé avec brio de l’astronomie au space opera.

La jeune génération de la fantasy américaine ne sera pas en reste, avec Ken Scholes, prix Imaginales 2012, une nouvelle pointure de la fantasy d’action, aux univers et aux personnages peu communs, ou Alexandra Ivy, l’une des signatures les plus appréciées de cette nouvelle fantasy urbaine appelée en France « bit-lit ». Venue en 2010 présenter son premier roman, Kristin Cashore s’est depuis fait un nom ; elle nous revient avec une trilogie saluée par la critique.

Quant à l’étonnante Gail Carriger et son héroïne néo-victorienne, ses dirigeables, vampires, loups-garous et théières, c’est un must so british conçu par une Américaine dont le succès public, à juste titre, ne se dément pas…

Comme d’habitude, nous vous préparons un ensemble de rencontres passionnantes, dont nos grands entretiens (50 minutes), la meilleure façon de découvrir de façon approfondie le monde imaginaire et la personnalité de chacun de nos invités anglo-saxons. S’y ajouteront séances de signature, cafés littéraires, tables rondes, et, en anglais, une série de petits déjeuners Imaginales : une heure trente de conversation à bâtons rompus avec plusieurs de nos auteurs étrangers. Une convivialité exceptionnelle, que vous ne verrez nulle part ailleurs qu’à Epinal… Aux Imaginales, même les stars sont abordables !

Présents à Epinal depuis 2002, comme Lionel Davoust et Sylvie Miller (également auteure et modératrice), ou nouveaux venus comme Jocelyne Bourbonnière, Hélène Bury, Nelly Lemaire ou Laurent Whale (écrivain lui aussi), nos traducteurs mettent leur talent au service des écrivains et du public. Jean-Daniel Brèque, traducteur éminent et connaisseur éclairé de l’œuvre de Lucius Shepard, se joint à eux cette année. La rencontre avec ces auteurs anglo-saxons serait en effet réservée aux happy few maîtrisant parfaitement  l’anglais si les Imaginales ne bénéficiaient pas d’acteurs de l’imaginaire apportant leur compétence, leur passion et leur disponibilité. Qu’ils en soient ici, au nom de tous nos festivaliers, chaleureusement remerciés.